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ERBEFOLE
Scénario
& réalisation : Fabien BELLAT, Henrri DE SABATES
(si besoin, télécharger WinZip et/ou le codec DivX)
Scénario
& réalisation : Anne-Laure FRANCHETTE, Edwige CORE
Scénario
& réalisation : Fabien BELLAT, Alexandre FONTAINES, Clément
LEMOINE
Scénario
& réalisation : Henrri DE SABATES, Shingoki
(si besoin, télécharger WinZip)
Scénario
& réalisation : Fabien BELLAT, Alexandre FONTAINES
Scénario
& réalisation : JCKL, Jérôme CHAUVIN
Scénario
& réalisation : Fabien BELLAT, Laurent BURGBACHER, Henrri
DE SABATES
Scénario
& réalisation : Ayumi SAWADA
|
Coal
Men
(2001)
distribution
acteurs : Aurélien Bédéneau, Charlotte, Gaël Boulard,
Jérôme Chauvin, Fabien Bellat
scénario et réalisation : Fabien Bellat
caméra : Clément Lemoine
montage : Clément Lemoine et Fabien Bellat
[Note de l'Archiviste : le film est en train d'être monté ; il sera bientôt mis en ligne]
L'attaque du Canard Masqué
(Henrri De Sabates et Shingoki, 2001)
=> Télécharger : 0'07" [1,0 Mo]
La Poule, le Ganesh et le Bouddha
(fable cinématographique de Henrri
De Sabates et Fabien Bellat, 2001)
La Fontaine (ou Esope et
vice-versa) aime Bouddha et Ganesh. C'est pourquoi il nous a inspiré
ce filmuscule.
Un Bouddha et une poterie Thaïlandaise achetés par Fabien Bellat,
une poule et un taureau en terre cuite trouvés en Roumanie, le buffet
de l'appartement Parisien de Fabien, sa lampe halogène, les centimes
d'Henrri De Sabates, puis la ficelle du saucisson dans le frigidaire...ont suffi
comme accessoires.
Voici ce qui s'appelle tourner un film avec des bouts de ficelle.
Mais aussi avec un appareil photo numérique et un ordinateur.
Précisons que c'est le deuxième film de Henrri, tout comme de
Fabien qui a déjà réalisé L'Arpenteur.
Par ailleurs, Henrri, dans son tremblé de caméra rend hommage
à Lars Von Trier et Fabien dans les mouvements de va et vient à
Sergueï Bondartchouk, l'auteur de la version soviétique de Guerre et Paix (1966) d'après
Léon Tolstoï.
Les auteurs ne s'arrêtent pas à ce bucolique essai et recherchent
d'ores et déjà de nouveaux figurants pour une superproduction
épique à la Homère.
Fabien BELLAT
Henrri De SABATES
Paris, 22 septembre 2001
=> Télécharger version musicale 1 ou version musicale 2 : 0'17" [2,9 Mo]
Carte blanche sur un canapé
(acteurs : Fabien Ballat, Aurélien
Bédéneu, Antoine Desbouys ; caméra : Henrri De Sabates,
2001)
=> Télécharger : 0'25" [4,1 Mo]
Baffe
(dessins, bruitages et scénario
: A. Bédéneau ; caméra : Henrri De Sabates, 2001)
=> Télécharger : 0'06" [1,1 Mo]
Yogi
(acteurs : Gaël Boulard, Jérôme
Chauvin, Aurélien Bédéneau ; scénario et caméra
: Henrri De Sabates , 2001)
=> Télécharger : 0'36" [3,8 Mo]
Chamboule-tout
(dessins et bruitages : Henrri De Sabates
; caméra : Shingoki, 2002)
=> Télécharger : 0'10" [1,5 Mo]
Vol
plané
(acteur : Henrri De Sabates ; caméra
: JCKL, 2002)
=> Télécharger : 0'10" [1,4 Mo]
Blanc rictus
(acteurs : G. Boulard, H. De Sabates,
A. Bédéneau, A. Desbouys, A. Fontaines, A. Kasperczyk ; texte
: A. Desbouys ; chant : A. Desbouys, A. Bédéneau, G. Boulard ;
caméra : Henrri De Sabates, 2002)
=> Télécharger : 0'21" [2,1 Mo]
Obsession Balnéaire Bretagne
(scénario de Fabien Bellat, 2001)
Voici, telles quelles, quelques
notes pour un scénario fantôme.
Ces notes, je ne les reprendrais pas, je les laisseraient en l'état.
Pourquoi ? D'autres projets, similaires mais plus intéressants, ont vu
le jour. D'ailleurs, je pense maintenant que le projet aurait été
peu satisfaisant, du point de vue visuel. En outre, ce script eut nécessité
de travailler avec certaines personnes que j' estime désormais peu fiables,
voire franchement désagréables. Or, je préfère travailler
avec ceux en qui je peux avoir confiance et en l' amitié et en le talent.
Cependant, j'ai repris le sujet en vue d' une transposition littéraire
(et non littérale), écrit qui sera bientôt mis en
ligne.
Place aux images foudroyées...
1.
Tout est rempli par la mer.
Vagues,
eau et ce qui s' y rattache.
2. " 1923. Un rêveur fortuné décide de créer une ville balnéaire." (carton).
3. S., en défroque d' Arpenteur. Son attitude fixe face à l' océan.
4. La plage, un vide effrayant.
5. " Il choisit une lande déserte de Bretagne." (idem).
6. F.
,dont le dos ne révèle qu' un buste, une tête.
Devant
lui, les autres.
Décor
: salon de cet ancien commerce péniblement mué en résidence.
7. La
tête devient omniprésente. Son dialogue de bouche invisible :
"J'
ai décidé de ne réaliser ni Errance, ni Des Fossoyeurs.
L'Arpenteur
est ce qu' il est."
8. Retour
au carton :
"Le
songe s'est interrompu."
9. Les images accusent la nostalgie d' une ville laissée inachevée.
10. Réactions des autres. Les échanges seront improvisés. Teneur envisagée : la déception de ne pas participer à la trilogie initialement prévue; le soulagement ostensible de ceux qui n' ont jamais vraiment cru au projet.
11. Une
mythologie s' impose : celle du banc.
A.
est le visage du moment.
12. Installation
du projecteur diapositive.
F.
dirige l' opération de vive voix, tout se fait en temps réel.
13. L' oeil (caméra) hésite contre une porte. On s' avance impétueusement vers le seuil de l' hôtel mais l' image vient mourir au niveau du palier.
14. Succédanés
de visions balnéaires.
Ces
ersatzs se nomment diapositives.Leur choix se fera en fonction de l' ambiance,
de la météo... Cependant, les représentations défilent.
15. Un autre défilé : celui de silhouettes errantes devant les insupportables, glauques, cabines trop balnéaires.
16. Le labyrinthe des villas spectrales.
17. Parce que l'ensemble ne saurait constituer un univers, les autres visions arrivent; avenues, théâtre de verdure, ciel, forêt, diverses banalités quotidiennes; floues.
18. Diapositique.
Voix
(sans présence très identifiable) : " F. à la pêche
aux moules."
19. Le pélerinage
pour la chapelle maritime. Paysages semblant traduire des aspirations englouties.
Des visages peuvent s'apercevoir.
Bucolique.
Epique. Burlesque. Du divin et du pathétique.
20. Désert céleste; le ciel espérant la tourmente.
21. Désert
différent (le croit-on) : la ville évanouie.
22. Des figures peuvent se superposer
: leur obsession prend le nom de plage.
Les
cabines. Le sable. Les amusements de ceux qui devaient agir dans Errance, Des
Fossoyeurs...
23. Une silhouette s'éloignant; celle de F. qui serait alors devenu une sorte d'Arpenteur.
24. Tout se
précipite.
Le casino,
l'avenue si largement inutile, le ballet des voitures passantes, le théâtre
silencieux, les carrefours aux frondaisons-mausolées, la blancheur
d'une église vide, le blanchâtre d'un hôtel affichant "faillite
pour cause de chute".
25. Visages oppressants : S. A. F. d'autres... Les personnes importent peu. Les figures nient.
26. " Nous vivons parmi ses vestiges bien réels". (carton).
27. Plage .Ville. Eau. Ciel.
28. "Le rêve, la ville évanouie." (carton).
29. Voix absente :
F. réalisa
en avril "L'Arpenteur". Ce premier film se passait à Sables-d'Or,
en Bretagne. Il ne le monta jamais. Des images survivent.
Dans le vague marin, inquiétante, apparait la mass du phare (de Fréhel). L' oeil titube autour.
Et,
continue la voix :
L' obsession
fatalement balnéaire, morbide...
La Bretagne
est son ultime décor.
(générique avec des surimpressions, lieux tristes)
Fabien BELLAT.
Dieppe, 23 novembre 2001.
Scénario
Scène 1 Ext. Jour __ La cour d'Elodie.
Carton : Elle prend (devant le mur)
( glissé )
Carton : la vie
Générique.
Scène 2 Ext. Jour __ La place de l'Opéra.
Du perron monumental : voitures, agitation, bus
se faufilant, façades au ciel fermé, oiseaux au-dessus des klaxons.
Une vitrine luxueuse ; Elodie en sort.
Marche heurtée parmi la foule.
Sc. 3 Ext. Jour__ Le bus.
Lassitude d'Elodie contre une vitre. Se lever
et repartir.
Sc. 4 Int. Jour__ Le grand magasin.
Elodie errant dans les rayonnages.
Elle regarde sa montre, s'inquiète.
Elodie :
_ Ouh là là.(dans le style).
Sc. 5 Ext. Jour__ Près du Louvre.
Rue de Rivoli, elle aperçoit son bus.
Encombrée de paquets, elle court, laisse
échapper quelque chose, veut le ramasser, le bus part.
Elodie :
_ Merde.
Elle regarde le bus s'éloigner, baisse
les bras.
Sc. 6 Ext. Jour__ Encore l'Opéra.
Les automobiles, le même poncif, Elodie
et sa marche pressée, anxieuse.
Sc. 7 Int. Soir__ Retour chez soi.
Un couloir sombre, ouvrir la boite aux lettres,
se rendre dans la cour.
Sc. 8 Int. Soir__ Home.
Porte s'ouvrant. L'oil recule, jusqu'à
découvrir l'ami vautré sur le canapé, pop-corn, bière,
match de foot.
Elodie :
_ Bonsoir chéri (ou quelque chose dans le genre).
Silence. L'autre occupé à son match.
Elodie :
_ Alors cette journée ?
Un temps. L'autre finit par consentir d'ouvrir
la bouche.
L'ami :
_ Oh, rien de spécial. (temps) Et toi ? (sirote sa bière)
Elodie :
_ Une journée assez fatigante.
Il n'a pas écouté.
Elle le regarde.
Elodie :
_ Dis-moi. Es-tu allé chercher un travail ?
L'ami :
_ Euh. Y avait trop de queue à l'ANPE.
(temps) Penalty ! (gueule) Bordel, y a penalty là ! (prend
l'écran à témoin).
Soudain épuisée,
elle tourne les talons, va tapoter sans raison apparente quelques objets dans
la cuisine, puis reste
debout, l'air absent, près
de l'évier.
Voix hors-champ :
_ But !
Contraste désagréable
avec son apathie.
Ellipse.
Il est assis devant l'ordinateur,
tapotant le clavier avec nonchalance maladroite. De dos elle lui lance.
_ Tu te souviens nos rencontres au lac ?
Surpris, il se retourne.
_ Comment oublier.
Elodie :
_ C'étaient tous les ingrédients du rendez-vous romantique caricaturé,
et pourtant c'était nous, nous avec les peupliers, le doux
courant de l'eau, les poissons que tu essayais d'attraper
comme dans un western, moi qui riait aux éclats, fleur de nénuphar
épanouie au front.
Lui :
_ Maintenant il ne faudrait plus y penser. C'est derrière nous.
Et il retourne à l'ordinateur.
Sc. 9 Ext. Jour __ Trottoir de l'Hôtel de ville.
La routine. Elodie dans la routine.
Dans la foule indifférente,
elle s'exclame.
_ Et puis zut !
.et de faire une pirouette avec ses mains, de
planter la banalité là.
Sc. 10 Int. Jour__ Eglise St François-Xavier.
La nef vide, ambiance de mausolée
aux cierges - l'oil se déplace, passe sur Elodie, va au chour. et revient
vers elle.
Attitude recueillie. puis son visage se
distend. La bouche se tire. Les sourcils s'escaladent. L'oil pétille.
Les doigts
tapotant le banc sec en cadence.
Tout finit par une authentique séance
de grimaces, dans une église.
En écho dans la nef naufragée,
elle part en courant.
Sc. 11 Int. Jour__ Le magasin musical.
Longtemps elle écoute de la musique,
casque sur la tête, marquant la cadence, se lâchant sans songer
aux regards.
Sc. 12 Int. Soir __ Chez soi.
Un peu le même rituel - sauf qu'elle
fait exprès de se placer devant la télé, au grand dam de
l'ami tentant de revoir son
écran.
Une serviette vole en l'air, un sourire,
elle disparaît, laissant l'autre interloqué.
_ Qu'est ce qu'elle a.
Sc. 13 Ext. Nuit __ La cour.
Initialement sortie pour descendre les
poubelles, silencieuse elle entame une chorégraphie nocturne, humble
ballet sous les fenêtres borgnes.
Sc. 14 Int. Jour __ L'appartement.
Le couple au lit. L'ami embrouillé
de sommeil. Légère et vive, elle saute hors du lit (chemise de
nuit), joue avec la couverture comme d'un drapeau toréadant.
L'ami :
_ Putain. veux dormir.
Elodie (malicieuse) :
_ Le jour se lève !
Sourire. Elle disparaît.
Sc. 15 Int. Jour __ L'amie ragoteuse.
Vue du salon. Des cadres : une église,
une icône, un paysage de Cézanne.
Portrait : l'amie cadrée de
trois-quart, en interview de commérage.
Elle :
_ Alors là, tout a déraillé.
(pause) Je ne sais pas comment. Elle a fait n'importe quoi.
Elle s'est mise à chantonner dans la rue.
Elle a harcelé son copain, les amis, tout le
monde de ses sourires inexplicables et de ses tours pendables.
Bref, ce n'est plus l'Elodie que je connaissais.
Que s'est-il passé ?
Elle ne veut plus entendre les histoires sur les collègues.
En plein documentaire sur les aventuriers de la jungle, elle a
improvisé une danse plutôt exotique.
Je ne comprends pas.
Elle refuse de faire
les courses avec nous. Elle s'est mise à aimer des musiques affreuses.
Elle rit souvent.
Je ne comprends pas. (pause) Parait qu'elle prend la
vie. (idem)
Franchement je comprends pas.
Puis silence, visage.
Sc. 16 Ext. Jour __ Les Buttes-Chaumont.
Mains dans les poches, visage serein, Elodie
flâne dans le parc.
Sc. 17 Int. Jour __ Zizanie domestique.
Dans l'appartement (fenêtre ouverte),
l'ami tourne en rond.
_ Merde, merde, merde, je comprend plus rien, merde qu'est ce qu'elle fout,
merde elle est partie.
Sc. 18 Ext. Jour__ La petite ceinture.
Marchant nerveusement sur la terrasse de
la petite ceinture, l'ami va, les mains gesticulant.
L'ami :
_ C'est forcément moi. (temps) Forcément moi.
Sa silhouette égarée.
Sc. 19 Ext. Jour __ Les plaisirs de la Concorde.
Non sans plaisir et yeux gourmands Elodie
attaque à pleines dents une barbe à papa.
Puis elle se balade aux Tuileries, pas
léger, presque de ballerine quittant la scène et rejouant par
réflexe.
Sc. 20 Ext. Jour__ Cinéma Opéra.
Avenue des Italiens, elle attend devant un cinéma,
calme dans la foule.
Sc. 21 Ext. Jour __ Le long de la Seine.
Elle regarde les quais, avec soudain la mélancolie.
Sc. 22 Ext. Jour __ Vandalisme officiel.
Face à la Préfecture, elle déchire
un formulaire atrabilaire, sourire triste.
Sc. 23 Ext. Jour __ Fenêtre sur cour.
Elodie soigne ses plantes de balcon.
Dans la cour apparaît l'ami, démarche
et allure empruntée, tenant malaisément un bouquet de fleurs.
Elodie le regarde presque sans étonnement.
Il pince la bouche, peinant à déclarer.
L'ami :
_ Elodie.Excuse-moi. je n'avais rien compris.
Et il étend les bras en croix, sourire
tendu, en attente, bouquet à la main.
Elodie penche la tête, sourit
doucement.
_ Ah la la la.
Fabien BELLAT .
Lille, église St Maurice, 31 août 2002.
Paris n'est pas une vie.
Elle prend la vie est un projet personnel
de Fabien, ce scénario n'a donc rien à voir avec l'opération
« les VIII films d' ERBEFOLE à laquelle Fabien participe d'ailleurs
très activement. Néanmoins, il a accepté que nous diffusions
ce scénario avant même le début du tournage (qui est imminent)
et alors que le script est encore susceptible d'ultimes ajustements. Annonçons
également que les rôles sont déjà répartis
: Audrey LEIGNEL dans le rôle d'Elodie, Edwige CORE dans celui de l'amie
ragoteuse et Fabien BELLAT pour la figure de l'ami.
En ce qui concerne l'assistance à la réalisation, Fabien pense
la proposer à Ayumi SAWADA , cette même amie qui le convainquit
de s'essayer au cinéma. Sinon, toute personne ou menbre d'ERBEFOLE qui
apportera son aide sera la bienvenue.
L'Arpenteur
(scénario de Fabien Bellat, 2001)
[Note de l'Archiviste : le texte est en cours de typographie ; il sera bientôt mis en ligne]
Coal
Men
(scénario de Fabien Bellat, 2001)
[Note de l'Archiviste : le texte est en cours de typographie ; il sera bientôt mis en ligne]
L'Arpenteur
(2001)
distribution
acteurs : Henrri De Sabates, Vanessa Chédé, Fabien Bellat
scénario et réalisation : Fabien Bellat
caméra : Fabien Bellat, Shingo
photographies : Aurélien Bédéneau, Shingo, Vanessa Chédé
croquis : Aurélien Bédéneau
Coal
Men
(2001)
Rouen connut en septembre 2001 des évènements non moins percutants que ceux de New York… On veut dire le tournage de Coal Men. Que ce soit dans une cave du dix-septième siècle ou dans le port aux charbons de Rouen, alors en cours de démolition, rien n’a arrêté la très aventureuse équipe réunie par Fabien Bellat pour la réalisation de son film. Les membres de l’équipage étaient :
Le port semi-ruiné constituait un navire parfait
pour des images cinématographiques mélancoliques, grises, désincarnées,
poreuses comme le charbon ; sujet prétexte du scénario.
Le film est actuellement en cale sèche (comprendre que le montage est
à terminer) en attendant de prendre la mer.
Fabien Bellat & Clément Lemoine, Paris, le 2 septembre 2002.
P.S. :
le commandant sanguinaire a arrêté les tortures avant que mort
ne s’ensuive.